
Violées et stigmatisées, des filles et des femmes souffrent dans le silence de leur foyer. Si quelques voix s’élèvent, cette pratique continue néanmoins à prendre de l’ampleur puisque les présumés coupables courent toujours les rues faute de sessions criminelles régulières. Nous avons rencontrés quelques-unes d’entre elles, qui ont bien voulu nous confier leur histoire. Une façon démarche qui les aideront sans aucun doute à extérioriser leur douleur et à briser le silence face l’ampleur de ce phénomène qui touche de plus en plus de mineurs. Accompagnées par Azur Développement via le projet : Promotion des droits et automatisation économique des femmes et jeunes filles vulnérables, ces femmes reprennent goût à la vie et veulent croire à un lendemain meilleur. Aussi, pour des mesures de sécurité, nous avons fait le choix des prénoms d’emprunt, et les photos, pour celles qui le souhaitaient
Annette Kouamba Matondo